Je vous ai déjà parlé du cockpit To Be Faster de JCL Simracing dans un précédent article et je remet le couvert grâce à mon ami Khiput qui vient de s’offrir le modèle V2. Je vous propose donc des vidéos de l’unboxing et du montage.
Pour info, le cockpit choisi est en profilés alu noir et des bandes de déco rouges on été choisies pour l’agrémenter. Au niveau des options il y a :
– repose talon (pour pédalier Heusinkveld Engineering)
– support shifter (pour Th-8 deThrusmaster)
– support clavier
La réception du cockpit s’est faite rapidement et représente 3 colis : un petit contenant la visserie, des petits profilés et des équerres d’assemblages. Un gros pour le siège, les glissières et les équerres de baquet et un grand carton pour la plupart des profilés alu.
Les colis sont très bien emballés, tout est bien protégés et aucun risque à craindre pour le transport. Tous les profilés sont protégés par des « housses » plastiques et, choses bien pensée, tous les sachets de visseries sont répérés par des numéros pour savoir quel sachet prendre lors du montage des sous-ensembles.
Allez, passons à la vidéo. Par contre j’ai pas fait l’unboxing du baquet, Khiput avait une voiture trop petite pour transporter le gros carton entier du point de livraison au lieu d’installation 🙂
Pour le montage, il suffit donc de prendre les notices préalablement téléchargés. On prend ensuite les profilés et sachets de visserie indiqués sur la notice (un ou deux sachets par sous-ensemble), on a assemble le tout style meuble Ikéa 🙂 A noter que pour certaines parties les numéros ne correspondent pas car les évolutions du cockpit ne se retrouvent pas toujours sur les plans mais on s’en sort toujours, rien de bien complexe.
Passons à la vidéo mais en accélérer pour pas vous endormir 🙂
Le montage a durée plus de 5 heures mais sans faire la vidéo on doit pouvoir faire bien moins. Pour les assemblages on a choisi au début la méthode du glissé, c’est a dire que l’on pré-assemblait les « nuts » (les petites pièces que l’on glisse dans les profilés pour visser les éléments) et les vis sur les sous-ensemble et que l’on glissait ensuite le tout dans les profilés. Ensuite, une fois que l’on a compris le système on placait les nuts avant (c’est plus simple, lol).
La chose la plus chiante a été le montage des glissières car il fallait réussir à les manoeuvrer pour accéder aux trous de fixation, ainsi que le baquet car on avait pas les vis de fixation et que les filettages sont pas toujours simple à trouver.
On a aussi choisi une méthode alternative pour la fixation du support souris afin d’avoir quelque chose de bien rigide. Sinon le reste n’a pas posé de problèmes majeurs.
Un fois finis, le cockpit est relativement compact et bien rigide. il faudra cependant bien serrer l’ensemble des vis pour garantir cette rigidité, notamment pour la partie volant qui, en fonction du volant monté dessus, peut avoir encore un peu de souplesse.
Je n’ai pu utiliser le cockpit tout finit en situation de course mais les retours de mon hôte et ce que j’ai pû ressentir en étant installer dedans me permettent de dire que l’on a affaire à un excellent cockpit, de haute qualité et avec une superbe finition.
J’espère donc que cet article vous permettrra de mieux visualiser l’assemblage de ce cockpit sur lequel je reviendrais bientôt car du nouveau matériel va venir prendre place à l’intéreur.
A suivre donc…